Dimanche dernier nous avons passé un très bel après-midi dans la propriété de Claude Monet ! Le célèbre peintre impressionniste a vécu de 1883 à 1926, soit quarante-trois ans, dans sa maison de Giverny. Passionné par le jardinage autant que par les couleurs, il a conçu son jardin de fleurs et son jardin d’eau comme de véritables œuvres. En se promenant dans ses somptueux jardins, on a en tête les tableaux qu’il a peints en regardant ces paysages… C’est troublant et magique à la fois !
L’idée de départ de la marque ? Aller chercher la matière première pour faire des soins écologiques, simples et efficaces dans les champs français !
Les partenaires ont été choisis minutieusement, en commençant par le fournisseur de chanvre, une coopérative de l’Aube en Champagne, à l’origine même de la marque. Puis les concepteurs de la gamme ont décidé de créer une gamme dermo-cosmétique dont le principe actif est issu d’un végétal cultivé sans pesticide, ni fongicide, ni herbicide, ni engrais. Le chanvre est ensuite transformé par la coopérative agricole La Chanvrière, premier producteur européen de chanvre situé à Bar-sur-Aube.
Il s’agit donc d’une ligne de soins dermo-cosmétiques à l’huile de chanvre bio, distribuée en pharmacie.
On dit du chanvre ou appelé aussi Cannabis Sativa, qu’il est une plante « miracle » car il est résistant et doté de multiples vertus (anti-inflammatoire, cicatrisant, antioxydant).
J’ignorais que la culture de cette plante était si multifonctions : on se sert de la graine (chènevis) pour l’alimentation humaine et animale, la
fibre et la moelle
Pour être franche en ce moment, avant mon départ en vacances très proche et avec la fatigue accumulée, j’ai pris un retard pas possible dans mes articles et je comptais vous présenter cette découverte à mon retour.
Mais je ne peux pas vous laisser partir en vacances pour beaucoup d’entre vous j’espère sans vous avoir fait part d’une découverte inédite en terme de soins biologiques !
Il s’agit de la marque Matière Brute, qui après 3 ans de recherches, n’a d’autre but que d’apporter un nouveau regard sur le monde de la cosmétique et de nourrir naturellement et durablement la peau des femmes, des hommes et des enfants.
Si l’on fait de plus en plus attention à la planète et à ce que l’on met dans notre assiette, il faut aller jusqu’au bout des choses et ne pas s’appliquer n’importe quoi sur sa peau. Si l’on applique consciencieusement des crèmes aux actifs naturels et biologiques et qu’à côté de ça on se gave de fast food et d’aliments bourrés d’additifs nocifs, d’édulcorants, de pesticides, et j’en passe, la peau ne pourra pas être embellie comme par magie.
Annabelle, la créatrice de la marque
Cette jolie marque est le fruit de la rencontre de 2 amis sur les bancs de la fac de biologie de Poitiers qui débutent ensuite leur aventure en juillet 2012. Producteurs de plantes aromatiques et médicinales en bio sur un terrain de 2,5 hectares, dont 1 est en production, ils obtiennent rapidement le label AB et la mention Nature & Progrès.
Toutes les recettes sont conçues par leurs soins et ils fabriquent eux-mêmes leurs produits au sein de leur laboratoire. Les cosmétiques répondent à la réglementation européenne en vigueur pour assurer la sécurité des utilisateurs.
J’ai pu tester 3 produits que je vous présente sans plus attendre !
Eau micellaire nettoyante et démaquillante : « L’experte du démaquillage, l’air de rien. »
Elle est à base de bleuet, sauge, noyer et laurier noble. Discrète dans son flacon sobre et nature, j’ai eu un vrai coup de coeur 
pour cette eau démaquillante. Sa texture est liquide, fraîche et huileuse également. Elle
démaquille parfaitement
BACSAC, c’est un bac à plantes, un bac à fleurs. C’est aussi un sac, souple, léger et résistant !
Jardiner avec lui est facile, que vous ayez un balcon ou un jardin, et coloré car les bacs se déclinent dans de très jolies teintes, discrètes ou flashy selon vos goûts, vos souhaits de jardinage, de décoration.
BACSAC c’est quoi : c’est « un contenant intelligent qui respecte l’équilibre naturel entre l’air, la terre et l’eau. La plante est enveloppée de plusieurs couches de feutres hydrophiles, qui protègent ses racines. » A l’origine en toile géotextile, il se décline aujourd’hui en batyline.
Les bacs sont 100% recyclables, résistants au gel et traités anti UV. Pour ça, il faudra que j’attende plusieurs saisons avant de vous le confirmer… !
Depuis 2009 à Paris, Godefroy de Virieu, designer passionné et 2 paysagistes impliqués dans le retour de la nature en ville, Virgile Desurmont et Louis de Fleurieu répondent aux besoins des citadins qui souhaitent aménager des coins de nature en ville. Ensemble, ils inventent une solution alternative à l’offre traditionnelle : un nouveau type de contenants souples en géotextile.
La marque croît jour après jour car à l’équipe initiale se sont ajoutés de nouveaux visages ; d’autres rencontres ont nourri la marque. Des intervenants réguliers viennent prêter main-forte. Nouveau venu dans le monde du design, BACSAC est courtisé par des maisons prestigieuses (Vitra, Kristalia) et développe des collaborations dans diverses directions, avec des grandes marques comme Fermob, Bonpoint, mais également avec des artistes, des architectes, pour des festivals, des aménagements publics ou privés : sur les toits de la Cité de l’Architecture à Paris, happenings dans les rues de New-York, de Milan ou de Londres, chez un glacier à Sao Paolo, dans des restaurants à Tokyo…
Attention, je ne vous présente pas n’importe quoi ! Je ne vais pas non plus énumérer les nombreux prix que la marque a remportés… je vous conseille de jeter un oeil sur le site pour en découvrir plus.
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